LE CALVAIREAu-delà du village où la route est muette,Parmi les marronniers qu’ont planté nos aïeux, Sous le dôme infini du ciel silencieux Le calvaire isolé dresse sa silhouette.
A ses pieds, quelques fleurs… comme des cassolettes,
Que de fois l’orphelin, dans le soir endeuillé,
Calvaire, au sol natal, combien j’aime revoir,
Camille CAUDRON.
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